29 janvier 2008
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A la neuvième lune on s'endort
Fuyant la nuit du ventre d’Eve
On s’apprête à vivre un long rêve
Dont l'issue n'est que regrets et remords
On bouge les mains puis tout le corps
C’est La vie! Un rêve vite s'achève
Les petites voix éclairées s'élèvent
Exprimant les bienfaits et les torts
On poursuit l'insaisissable espoir
Qui tant s'éloigne qu'on ne peut le voir
Qui tant grossit qu'on ne peut l'enlacer
Un mal altère notre profond sommeil
Nous traverse un frisson qui réveille
Notre instinctive envie de trépasser.